Cela fait plusieurs mois que vous avez du vous adapter au travail à distance. Il est assez simple quand on travaille seul, et il est assez facile de faire des réunions téléphoniques ou en visioconférence. Pour le travail collaboratif, faire émerger de nouvelles idées, élaborer en co-construction, cela devient un peu plus difficile.
Vous vous êtes adaptés. Nous aussi!
Après 2 mois de test, d’expérimentation, de séminaires avec nos clients, nous sommes arrivés à la conclusion que cela marche très bien à distance. Et même plus cela nous a ouvert quelques nouvelles pratiques.
Un séminaire à distance demande de nouvelles compétences qu’il a fallu acquérir, comme par exemple la maitrise des outils informatiques, car il est essentiel qu’ils ne limitent le travail souhaité :
- un outil de visioconférence puissant, notre choix c’est positionné sur Zoom qui offre des fonctionnalités adaptées à notre métier, mais il également possible de travailler avec Google Meet ou Microsoft Teams, avec un peu de flexibilité et de créativité,
- un outil collaboratif, notre choix s’est positionné sur Klaxoon qui nous permet travailler avec des post-it, et d’une façon très fluide, et nous affranchis de certaines limites du monde physique (espace infini, agilité d’organisation des post-it, lisibilité et contenu plus riche des partages, ré-utilisation améliorée du travail fait),
- un outil de communication entre les animateurs, comme par exemple WhatsApp.
Nous avons fait différent types de séminaires: inclusion, cohésion d’équipe, kick-off de transformation, réflexion sur le confinement et l’après, accompagnement de CODIR, et jusqu’à plusieurs dizaines de participants.
Les retours sont très concluants. Les participants ont trouvé que la façon dont nous abordions ces séminaires leur a permis d’être complètement embarqués, de faire un travail en profondeur, notamment en petit groupe, d’en oublier les outils et de se focaliser sur le contenu.
Tout ce savoir faire acquis pendant cette période de confinement va pouvoir continuer dans le futur. Mixer les moments en présence et ceux à distance.
Tout ceci a été possible grace à un collectif très fort, merci donc à: Vincent Fruneau, Kako Dubs, Nathalie Valiere, François Nicol, Nina Becker Ferri, et à Arnaud Hallé.